Réception d'une Délégation du Grand-Duché de Luxembourg dans les domaines statistiques, économiques et du développement durable

Au premier plan, de gauche à droite : André Garino, Président du CES de Monaco, Francis Schartz, Président du Conseil Supérieur pour un Développement Durable (CSDD) du Grand-Duché de Luxembourg, Lionel Galfré, Directeur de l'IMSEE , Serge Allegrezza, Directeur du STATEC (Institut national de la statistique et des études économiques du Grand-Duché de Luxembourg) et Président Honoraire du CES du Grand-Duché de Luxembourg et Marianne Nati-Stoffel, Secrétaire Générale du CES du Grand-Duché de Luxembourg. ©Centre de Presse / Charly Gallo

Monaco, le 4 février 2015 – Le Président du Conseil Economique et Social de Monaco (CES), André Garino et Lionel Galfré, Directeur de l'Institut Monégasque de la Statistique et des Etudes Economiques (IMSEE), ont reçu les 3 et 4 février une délégation luxembourgeoise composée de :

-          Serge Allegrezza, Directeur du STATEC (Institut national de la statistique et des études économiques du Grand-Duché de Luxembourg) et Président Honoraire du CES, du Grand-Duché de Luxembourg

-          Marianne Nati-Stoffel, Secrétaire Générale du CES du Grand-Duché de Luxembourg et

-          Francis Schartz, Président du Conseil Supérieur pour un Développement Durable (CSDD) du Grand-Duché de Luxembourg.

Cette rencontre est le fruit des travaux de réflexion menés par le CES et l’IMSEE autour des indicateurs complémentaires du PIB susceptibles de prendre en compte l’aspect environnemental et le bien être de la population.

C’est d’ailleurs dans cette perspective, que l’IMSEE, a organisé, le 5 février 2014, en collaboration avec le CSM, une réunion relative à la présentation du Better Life Index (BlI) indicateur de l’OCDE.

De son côté,  le CES a adopté, le 5 novembre 2013, un  vœu relatif à la mise en place d'un indicateur global, plus proche des préoccupations citoyennes, qui visait à replacer l’individu au cœur des préoccupations économiques et statistiques.

Ces réunions de travail visaient donc à échanger sur la mise en place de statistiques destinées à mesurer la qualité de la vie quotidienne et à déterminer la manière de mesurer le bien être des résidents de la Principauté.